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Information de dernière minute !
La Malouinière de la Baronnie à Saint-Malo ne peut plus participer à cet événement
Construit en 1602, le logis principal est un bâtiment à un étage et trois travées qui a subi de nombreuses transformations au cours de sa vie et des périodes d’occupation successives. Il a notamment connu une période de lieu d’hébergement monastique au 17ème et 18ème siècles avant de revenir à la vie laïque. Un belvédère ornait la toiture et permettait d’observer la rade de Saint-Malo. Il a été démonté́ pendant la guerre 39-45 pour éviter que la maison soit réquisitionnée par les Allemands.
Après le départ des pères, à la Revolution, le manoir revint aux héritiers naturels. Plusieurs propriétaires différents ont suivi jusqu’à la fin du 20ème siècle où la malouinière est tombée dans l’oubli.
La restauration commence en février 2016 avec les propriétaires actuels. Les étables, hangars qui s’accrochaient à la façade sont abattus. Les jardins sont défrichés. Le lierre des murs est arraché. Avec le concours de la fondation du patrimoine et des architectes des bâtiments de France, la maison est progressivement remise à son état d’origine. Portes, fenêtres, peintures, enduits sont refaits en respectant scrupuleusement les prescriptions de ces derniers.
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Réservation en ligne : chipaudière.com
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« Placée au cœur d’un site naturel exceptionnel, la Basse-Flourie, Malouinière du début du XVIIIème siècle, offre une vue maritime spectaculaire sur les couleurs changeantes de la Rance. Le jardin est classé aux Monuments Historiques. Son plan en terrasses, descendant par paliers sur la Rance, a permis la création de paysages variés : un jardin classique, avec ses allées régulières organisées autour d’un bassin ; une terrasse d’esprit maritime, avec ses pins parasol et ses cyprès ; un « jardin d’essai » d’une structure géométrique à la Française et sa charmille ; une allée de charmes séculaires, une lande aménagée dans l’esprit libre d’un jardin anglais, avec de nombreuses espèces d’arbres. Les espèces locales (chênes, charmes, tilleuls, marronniers…) ont été renforcées par des sujets d’essences plus exotiques, témoins des expéditions des mers du sud des armateurs malouins : palmiers, tulipiers, liquidambars. »
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Cet édifice, bâti en 1789, s’inspire directement du modèle de la malouinière, avec corps central comprenant les pièces nobles (salon et salle à manger) , flanqué de deux pavillons plus bas, cour complètement séparée du jardin par le mur de clôture, architecture symétrique, sans décor. Les pièces du rez-de-chaussée ont conservé leurs lambris Louis XVI.
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« La Ville Aze est une petite malouinière dont l’architecture est bien représentative des édifices à trois travées. Située sur la commune de Saint Coulomb, elle fait partie de la plus grande concentration de malouinières connue soit 11 demeures dans le kilomètre à la ronde. La date de construction est connue par la mention « 1729 » portée sur le fronton de la lucarne centrale façade sud. Sans réelle modification au fil du temps, cette maison est le témoin de ces plus petites malouinières que l’on nomme « vides bouteilles ». L’architecture très sobre, présente toutes les caractéristiques communes à un grand nombre de demeures du pays malouin inspirées par Garangeau, ingénieur en chef de Vauban. A la Ville Aze on remarquera des façades rigoureusement rythmées par le jeu des travées et le bandeau peint, les traditionnelles lucarnes à linteau en arc segmentaire et corniche moulurée, un toit en croupe dont la pente est très prononcée. L’inventaire ne serait pas complet si l’on n’évoquait les deux petites ailes que l’on nomme chartreuses. La toiture élancée et ces deux pavillons donnent à la Ville Aze un élan architecturale spécifique. Construite à même le roc, la maison n’a pratiquement pas de fondation. En son intérieur les cloisons sont exclusivement d’époque et en bois. La charpente d’origine est qualifiée comme remarquable. Actuellement dans un hameau, la Ville Aze était autrefois proche d’une maison aujourd’hui ensevelie. Dans le fond de l’actuel étang de Saint Suzanne, existait une demeure. A cette époque, le côté existait des jardins en espalier entre les deux maisons. »
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Par rapport aux malouinières fameuses du XVIIIème comme Le Bos ou La Chipaudière, la Motte aux Chauff semble modeste. Toutefois, construite en 1660 comme l’atteste le linteau de la porte Nord, c’est la première malouinière de cette taille, présentant une parfaite symétrie des ouvertures, caractéristique de construction qui se généralisera bien plus tard. Coiffée d’un toit à coyau imposant, reposant sur une corniche en pierre, encadrée de cheminées à épaulement, elle est de belles proportions.
La cage d’escalier est l’élément le plus remarquable de la maison, par sa taille et son état de conservation. Elle occupe un petit tiers du volume du bâtiment principal. L’escalier est constitué de volées droites avec des paliers à mi-étage et à l’étage. Il est orné d’une rampe à balustres à double poire avec anneau central. Une boiserie à petits panneaux, au droit de la rampe menant au premier étage, décore la cage d’escalier.
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Monument Historique privé du 18ème siècle, situé à 10 minutes de Saint-Malo.
Demeure d’armateur, construite en 1710 par Garangeau, architecte de Vauban, pour la famille Eon de la Villebague.
Chapelle et colombier XVIIème siècle, bassin XVIIIème siècle, parc de 4 hectares clos de murs.
Visite des intérieurs de la malouinière, collection d’armes de corsaires et mobilier d’époque, art de la table.
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Intarissable sur l’histoire de la malouinière de la Fosse Hingant, Bernard de Prat, son propriétaire, nous raconte 600 ans d’histoire de 1418 à 2025 et les nombreuses transformations intervenues au cours des siècles.
Le logis actuel occupe le centre d’un ensemble comprenant les communs, la chapelle portant la date de 1781 (qui correspond à une restauration) , le colombier, le mur de clôture avec son portail encadré de pavillons et surtout la salle de billard, en forme de petit temple antique, à l’extrémité de l’enclos.
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La Ville-es-Treux, construite au début du 17e siècle, fut remaniée en 1696 c’est pourquoi elle est qualifiée de « pré-malouinière ». La façade possède d’intéressants détails d’architecture comme il en existe peu dans les environs. Au cours de la visite, vous découvrirez beaucoup d’autres choses encore, notamment sur sieur de La Villestreux, Pierre Perrée du Coudray (1656-1742), corsaire et armateur malouin, qui fut propriétaire des lieux.
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La Malouinière des Trauchandières a été construite en 1714 par le corsaire Guillaume La Perche des Trauchandières, qui est devenu par la suite secrétaire du Roi Louis XIV.
Il commandait la Glorieuse, un des bateaux de l’expédition navale de l’amiral Duguay-Trouin au Brésil en 1711.
L’année précédente, les Portugais avaient fait prisonniers 700 français et Louis XIV avait donné l’ordre d’envoyer une armada de 17 bateaux français pour les libérer. La ville qui était en théorie imprenable a été soumise et le gouverneur de Rio de Janeiro a été détenu contre une rançon importante.
Celle-ci a été divisée en trois parts : une pour le roi de France, l’autre pour l’équipage et la troisième pour le capitaine.
Cette opération s’est révélée un grand succès et tous ceux qui ont investi de l’argent ont doublé leur mise.
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« La Malouinière de la Villes Gilles a été construite en 1721 par monsieur de Noailles, armateur malouin, membre de la Compagnie des Indes ET disposant de 16 bateaux à la mer. Elle reste dans la famille plusieurs décennies puis fut la propriété de plusieurs personnes privées avant d’appartenir à DASS après la 2ème guerre mondiale qui en fait un centre de redressement d’adolescents.
Depuis 2021 Agnès et Marc Villand ont engagé une rénovation totale et grâce à cet engagement, elle a obtenu le Label Fondation du Patrimoine en 2023. Le domaine se compose de plusieurs bâtiments, une maison principale, une annexe d’habitation, une chapelle, une écurie et s’étend sur 12 hectares dont 7, 5 cultivables. Le parc d’agrément de 2 hectares est planté d’arbres centenaires : chênes, tulipiers de Virginie, Araucarias, Marronnier tricentenaire, Gingko Biloba et il est complété par un jardin romantique et un jardin austral. La propriété dispose également d’une baignoire à chevaux empierrée d’une surface de 300 m2.
Les malouinières étaient autant des maisons d’apparat que des exploitations. Pour redonner vie au domaine, il fallait également lui rendre sa vocation agricole. Agnès Villand ayant passé son BAC agricole, la culture du thé s’est peu à peu imposée et ceci pour de multiples raisons : la beauté de la plante, sa compatibilité avec la terre et le climat breton, la volonté de rapprocher une clientèle potentielle d’une production de qualité et s’inscrire dans une histoire d’échange avec le monde La production de thé arrivera à maturité dans les années 2027/2028.
A bientôt pour une visite. »
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La malouinière de la Picaudais a été construite par deux architectes servannais, Vincent Perré Delacroix et Guillaume Ruffier, à la demande du nouveau propriétaire, un riche armateur malouin aux XVIe et XVIIe siècles. Il s’agit de René Hérisson, un des plus riches armateurs de Saint-Malo (1641-1718), négociant faisant du commerce sur la route de la Chine et du Pérou qui fait réaménager toute la décoration dans le goût de l’époque et de ses découvertes des pays asiatiques.
En partie délabrée, elle a été entièrement rénovée il y a quelques années.
« Le château de Bonaban est l’une des dernières et des plus vastes malouinières jamais construites. Ayant souffert d’une vie mouvementée ces vingt dernières année, le Château de Bonaban va faire l’objet d’une importante campagne de restauration pour héberger une collection privée de design et d’art contemporain, ainsi qu’un jardin de sculptures monumentales. Véritable état des lieux avant travaux, la visite guidée comprend : intérieur (escalier d’honneur, salons et chapelle), Parc (Pigeonnier du 17ème siècle et serres du 19ème siècle) et une présentation du projet de restauration. »
Sur réservation – Billetterie en ligne – Parking à proximité.
Malouinière et Jardins classés M.H. et « Jardins remarquables ».
Jardins à la Française et jardins romantiques dominant l’estuaire de la Rance et y descendant par 4 plans de terrasses successifs. Chantier naval au XVIIIème, c’est au Montmarin que certains bateaux de Bougainville furent armés. Dans le « Pavillon », dernier survivant des bâtiments du chantier naval, vous découvrirez la maquette le représentant du temps de sa grandeur.
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